de Won Kar Wai en 2007
Norah Jones en serveuse automate
Les proitagonistes d'une rencontre improbable dans un cadrage qui ne laisse rien au hasard
Quand on disparais, il ne reste que les images que l'on a laissé dans la mémoire des autre; ou à peine quelques ligne sur une addition...
... Et je n'avais plus la moindre envie d'être cette personne
fies toi à tout le monde, mais coupes toujours les cartes ...
Norah Jones succombe à la tarte aux myrtilles
avec des gestes qu'il faut avoir bien observé pour en saisir la gourmande intimité
Une découverteet un grand bonheur cinématographique, hier soir sur mon petit écran 11'
Il ,ne m'a pas fallu plus de quelques minutes pour tomber sous le charme de cette symphonie de couleurs électriques , de jeux de téléobjectifs;. La caméra monte descend tourne glisse on se sent le regardl monté sur coussin d'air, L'espace physique qui semble pourtant exigu devient une espèce de jeux de miroirs que la profondeur de champ, la lumière et les mouvements de caméra sculptent à l'infini. Les acteurs sont littéralement immergé dans nce bain multicolor, leurs silences, regards, respirations, sont autant de dialogues que les caméras captent comme s'ils étaient déjà en nous.
Même La tarte aux myrtilles ( souvenirs perso) tient sa place de gourmandise suprême irrémédiablement liée au glacé dehors, mais si chaleureux dedans, qu'on peut lui allier sans ho
nte une boule de glace par dessus. C'est le dessert qui " reste"... Pourquoi continuer à le faire alors ?
La biodiversité... Et surement le plaisir si intense de ceux qui s'y risqueront parfois qu'il se voit dans leurs yeux et gestes gourmands ; tout cela touche bien sur à l'érotisme le plus total !